
L’ombre est sa lumière
dans son écrin de maux
elle est le voile qui l’anime
figeant en équilibre
dans les airs
le regard dans l'aube
de l'autre à la scène
l’autre que vous êtes malgré vous
cet inconnu venu sur son territoire
défoulant l’espace de son doux repos
ô petit sommeil vain
et si vous étiez là
comme une caresse
un charme envoutant
sur sa chair claire
Si dans la pénombre
vous étiez son réveil
et vos petits pas
les soubresauts de son cœur qui bat